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Jardin - Page 7

  • Les chèvres des Tuileries

    Au fait il y a deux chèvres au Jardin des Tuileries, qui servent à tondre - écologiquement - les fossés du jardin. Je n'en revenais pas quand je les ai apercues ! Ce soir là elles broutaient dans une pelouse en creu, vers la sortie qui mène au Carrousel. Un vigile, grand garçon au crâne rasé et aux tatouages tribaux, m'a dit que ça fait deux ans que les jardiniers ont des chèvres. Mais où étaient-elles cachées ?

    Qui les traye ? Où dorment-elles la nuit ?

    En tous cas elles sont bien jolies avec leurs cornes recourbées et leur poil blanc.


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  • La journée des jardins

    Après le week-end patrimoine, il y avait le week-end des jardins ! Hélas, j'ai eu quelques problèmes avec mon PC, je crois avoir un peu abîmé le port USB qui me permet de lire une clé, donc j'ai téléchargé mes photos sur un Mac, les ai récupérées de même et les ai rebalancée de même. L'achat d'un nouvel ordinateur n'est pas prévu avant un certain temps, et pour cette fois-ci ça a plutôt bien marché. Bref.

    Je m'étais préparé un circuit jardins de couvents dans Paris qui a complètement remplis mes espérances. Tous ces jardins ne sont pas exceptionnels par leur forme ou leurs plantes, mais par le fait qu'ils sont secrets, enfermés derrière de grands murs et donc insoupçonnables de l'exterieur. Ce sont des jardins de méditation, pour offrir le repos aux communautés qui y habitent. Cela se sent quand on s'y promène. Ou du moins c'est que je crois y ressentir.

    Donc voici la première étape de mon parcours, le jardin des Missions étrangères, rue de Babylone. En face, ou presque, il y a le square Catherine Labouré, ancien jardin de couvent et admirablement bien paysagé. En comparaison le jardin des missions étrangères fait pâle figure bien qu'il soit un peu plus grand. Mais la façade du couvent, XVIIIe, les buissons de roses de Chine ramenés par les missionnaires au cours du XIXe sont charmants. Ci-dessous un cloche chinoise offerte par le contre-amiral Rigault de Genouilly, au nom du corps expéditionnaire français à Canton vers le milieu des années 1850.

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    Ensuite il y a eu le jardin de l'aumonerie du Lycée Victor Duruy. Sur le mur vierge du lycée, rue de Babylone, je trouve ce pochoir. Comme quoi, la jeunesse dorée du 7ème est elle aussi un peu politisée... Le jardin était un adorable fouilli envahi de capucines et de physalis.

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    Pour finir, le jardin du couvent des Soeurs de l'Adoration.

    Il me semble que tous les jardins de couvent se ressemblent, avec leur mini grotte de Lourdes, leurs massifs à la fois ordonnés et laissés à l'abandon, leurs bordures en buis, leur buissons de laurier sauce. Le jardin des soeurs est entouré d'immeubles et d'un grand mur côté rue, il est donc très ombragé. Il a souffert de la sécheresse, m'explique une soeur, et est finalement assez dépouillé. Mais il possède - à mes yeux - un charme indéfinissable.

    Une des soeurs m'a même donné des petits gâteaux (sablés aux amandes Leader price) sur lesquels je lorgnais, qu'elle avait préparés pour le goûter de deux petites filles qui n'en voulaient pas, mais après m'avoir vu en manger, elles ont changé d'avis. On pouvait trouver le chemin vers le couvent de l'Adoration en suivant les gens qui en repartaient avec de grands bouquets de laurier. Les soeurs avaient taillé leurs lauriers sauce et tous étaient invités à en prendre.

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    Je suis repartie vers le Luxembourg, en longeant la rue de l'Abbé de l'Epée et je découvre la splendide collection de pommiers et poiriers aux noms tous plus poétiques les uns que les autres.

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    Je tourne à droite rue d'Assas pour découvrir le jardin des Carmes qui se trouve dans l'Université Catholique.

    La boucle est bouclée, je n'ai plus qu'à descendre la rue de Rennes et aller prendre le 86 à St Germain et me diriger plein Est...

     

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