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Non au harcèlement du chargé de prod !

Non au harcèlement du chargé de prod.

Travaillons dans le calme et avec méthode. Oui, un tournage est prévu. Oui le journaliste a besoin d'un caméraman. Dans l'ordre :

- il envois un mail précis au chargé de prod.

- il attend qu'il lui réponde par mail.

Qu'est-ce un mail précis ? Un mail explicitant en 4 lignes : lieu, date et durée du tournage. La précision n'exclut pas les formules de politesse d'usage, s'il te plait, merci et à bientôt.

En fonction de l'urgence du reportage (sur une échelle de 1 à 10, Ingrid Betancourt 1 et exposition au Quai Branly 10) le chargé de production répondra avec plus ou moins de réactivité. N'oublions pas qu'il gère plusieurs tournages, donc plusieurs cameramen, plusieurs journalistes, différents rédacteurs en chef...

Il est donc inutile de :

- l'appeler dès 8h20 alors qu'il commence sa longue journée de travail à 10h30 (qui se termine généralement vers 23 heures),

- l'appeler également sur le fixe,

- lui envoyer un mail,

- appeler dans le désordre Martine, (deux fois) le poste evn, les docs, toutes ces personnes n'assurant pas encore le secrétariat du chargé de production.

Par contre, on se calme, on respire, on boit frais.

On a confiance dans le professionnalisme du chargé de production qui sait évaluer le degré de priorité de la demande du journaliste et saura y répondre à 100%.

Par ailleurs, on évite de demander un "cameramen expérimenté" ou un "bon monteur". Nous savons tous que nous ne bossons qu'avec des brèles...

Le débat est ouvert. Les suggestions sont également les bienvenues.

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