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  • Ca peut attendre lundi

    Le charme de travailler dans le milieu audiovisuel c'est que nous rencontrons toutes sortes de catégories professionnelles. Il y a les intermittents et les permanents, les professions intellectuelles et les techniciens, ceux qui travaillent du lundi au jeudi et ceux qui travaillent du vendredi au dimanche et pour finir, ceux qui travaillent le jour et ceux qui travaillent la nuit. Aucun de ces mondes ne se rencontre.

    Donc, cela a pour conséquence des comportements style bande de Gaza. Le service informatique (catégorie « permanent », du lundi au jeudi) bien sûr ne peut comprendre les demandes des intermittents ou pigistes qui sont quasi permanents (cela fait des années que nous travaillons ensemble) mais dans le fond, administrativement ne le sont pas. Nous ne sommes pas dans le même mode de fonctionnement. C'est presque comme si on ne parlait pas la même langue, celle du lundi au jeudi.

    A la question, je ne peux pas consulter mes mails perso sur mon PC (ou mon Iphone). Pourrions-nous avoir du wifi ? Nous sommes jeudi.

    La réponse : ça peut attendre lundi. Pas de point d'interrogation dans le ton de la voix, c'est évident que ça attendra lundi. De toutes façons, ils ne sont pas là le week-end. Nous ne sommes pas au MacDo. Nous sommes dans une chaîne internationale francophone.

    Ce n'est pas grave. Nous ne sommes pas le SAMU, il n'y a pas mort d'homme. Mais ce qui est dommage c'est qu'il n'y a pas de compréhension mutuelle, une absence de dialogue quasi onusienne qui ma foi est un peu triste. Ce sont juste deux mondes qui ne se rencontrent pas. Quelle solution ?

    Faudrait-il nommer un médiateur pour épauler le responsable technique et/ou informatique ? Quelle passerelle créer entre ces différents mondes ? Et si chacun y mettait un peu du sien ?

    Le débat est ouvert, les suggestions bienvenues.

  • Non au harcèlement du chargé de prod !

    Non au harcèlement du chargé de prod.

    Travaillons dans le calme et avec méthode. Oui, un tournage est prévu. Oui le journaliste a besoin d'un caméraman. Dans l'ordre :

    - il envois un mail précis au chargé de prod.

    - il attend qu'il lui réponde par mail.

    Qu'est-ce un mail précis ? Un mail explicitant en 4 lignes : lieu, date et durée du tournage. La précision n'exclut pas les formules de politesse d'usage, s'il te plait, merci et à bientôt.

    En fonction de l'urgence du reportage (sur une échelle de 1 à 10, Ingrid Betancourt 1 et exposition au Quai Branly 10) le chargé de production répondra avec plus ou moins de réactivité. N'oublions pas qu'il gère plusieurs tournages, donc plusieurs cameramen, plusieurs journalistes, différents rédacteurs en chef...

    Il est donc inutile de :

    - l'appeler dès 8h20 alors qu'il commence sa longue journée de travail à 10h30 (qui se termine généralement vers 23 heures),

    - l'appeler également sur le fixe,

    - lui envoyer un mail,

    - appeler dans le désordre Martine, (deux fois) le poste evn, les docs, toutes ces personnes n'assurant pas encore le secrétariat du chargé de production.

    Par contre, on se calme, on respire, on boit frais.

    On a confiance dans le professionnalisme du chargé de production qui sait évaluer le degré de priorité de la demande du journaliste et saura y répondre à 100%.

    Par ailleurs, on évite de demander un "cameramen expérimenté" ou un "bon monteur". Nous savons tous que nous ne bossons qu'avec des brèles...

    Le débat est ouvert. Les suggestions sont également les bienvenues.

  • Vacances

    Voilà, je suis allée en vacances et j'ai posté mes photos. Vous pouvez les regarder si vous avez envie. Il y en a un peu beaucoup mais vous choississez la vitesse de défilement.